Vos jeux en cours, vos jeux finis... (partie 2)

J’ai enfin acheté et commencé SEGA Ages Phantasy Star sur Switch. J’ai du utiliser un walkthrough pour le tout début, car je tournais en rond, mais maintenant ça roule.

Je suis vraiment impressionnée par les musiques et le scrolling dans les donjons :tailsno: Il y a très peu de combats en mode Ages, ce qui me convient très bien.

le 1er PS sur MS est clairement une tuerie technique. Certaines musiques on ete remixées dans PS4.

Vous m’avez donné envie de rejouer à crazy taxi, je vais me faire le 3 sur pc.
J’espère qu’il fonctionne encore sur Windows 10.

Shinobi arcade sur l’Astro City, il y en a qui l’ont fini ? Parce-que le dernier niveau, non seulement est super dur, mais empêche d’utiliser des continues ! 3 vies max pour finir le niveau, même avec l’auto save (lourdingue de recharger à chaque mort), c’est super compliqué.
Super jeu sinon quand même…

Bon, je l’ai fini finalement en sauvegardant quasi à chaque pas, je ne vois pas comment le jeu est finissable sinon…
Le dernier boss est très dur également.

j’ai fait pareil a l’epoque sur la version XBLA. oblige de sauvegarde a chaque mec tué pour esperer passer le dernier niveau.

Là je suis sur Shadow Dancer, le chien aide pas mal ainsi que le nombre de magies s’incrémentant à quasi chaque continu

Il me semble que j’ai terminé Shinobi, mais seulement en usant et abusant des save-states si c’est le cas. Il faudrait que je le refasse.

J’ai même fait des sauvegardes contre le Masked Ninja qui a des patterns complètement imprévisibles, surtout sur sa troisième magie, avant de l’achever à la fin au petit bonheur la chance quand il court de tous les côtés de l’écran.

Bizarrement, je trouve Shadow Dancer moins clean graphiquement, sur l’Astro en tout cas, même s’il est un peu plus évolué, ça pixellise quand même mais très beau pour l’époque.
Il faudra que je compare à la version MD que je n’ai jamais lancée encore…

La version MD n’a absolument rien à voir, à part la présence du chien, mais le jeu est très bon malgré tout. Et bien plus facile !

Quand je ne m’occupe pas des travaux chez moi et que je ne bosse pas, je me fais un streets of rage remake 5.2 sur PC.

Je suis à fond sur les Streets Of Rage depuis ce fangame et le 4 (vu qu’en ce moment, ils rajoutent des succès Steam sans avoir les détails exacts), j’ai une putain d’envie de me faire Streets Of Rage 3 sur MegaDrive.

Shadow dancer se fait «  »""""« facilement »"""" jusqu’au égouts du stage 3. A prtir de la, faut se greffer 2 mains de plus, 3 cerveaux et éventuellement se faire aider.
Pas fait sur Astro pour le moment, mais fini sur hyperspin en abusant des credit infinis.

Shadow Dancer est le jeu qui m’a fait changer de bistro quand j’étais petite. J’allais au café du coin avec mon père pour jouer à Arkanoid, et ils l’ont remplacé pour Shadow Dancer.
Je crois que je n’ai jamais passé le 1er stage (j’avais genre 9 ans), on a changé de café pour un qui était quand même assez loin, mais qui avait Twin Cobra. :helicopter:

Bon, on a déchanté quand ils l’ont remplacé par Toki :mrgreen:

Je te comprends. En arcade jamais passe le niveau 2 pour ma part (je devais etre un peu plus vieux que toi :wink: ).
Ca me rappelle aussi mes souvenirs d arcade dans les bars. Moi c etait Cabal qui etait dispo au bistro du coin. Impossible a finir aussi …

Je me suis arrêté au niveau 3 pour l’instant avec l’arrivée des ennemis jetant des batons de dynamite, ce qui m’a fait beaucoup penser à l’excellent Sunset Riders…

WE passé sur columns sakura wars sur SAT que je ne connaissais pas il y a encore 2 semaines.
Jeu sympa, bien que vraiment court, 5 heures pour faire la fin Arcade, et Story avec tous les persos, cachés inclus.
Pas mauvais cependant, on doit y revenir facilement pour une tite partie rapide de tps en tps.

En attendant RE8, j’ai attaqué Narita Boys sur SEries X (dispo sur gamepass). Un metroid vania en pixel art. L’ambiance est géniale avec cet univers année 80 à la Tron que j’adore.
Il est bourré de bonnes idées et entre la musique au top, et les environnements très soignés, je sens qu’il va être très sympa à faire.

J’attends de voir sur le long terme, mais ça commence bien…

En ce moment, je découvre Celeste, j’en suis au chapitre 4, c’est un excellent jeu de plateforme, exigeant dès le début mais on prend assez vite le coup de la maniabilité.
Il y a un soupçon d’exploration aussi pour dénicher les collectibles et c’est un jeu qui fait que vous allez vous surprendre vous-même en réussissant des passages qui semblent impossibles parfois plus vite que vous ne le pensez.
Vous allez mourir des centaines de fois par chapitre mais les checkpoints fréquents font que l’on a envie de recommencer sans arrêt (pas de loadings heureusement).
Il y a d’excellentes idées de gameplay à chaque chapitre et d’hommages discrets à d’autres jeux aussi (c’est à la fois un atout ce gameplay varié et aussi son seul défaut que je vois pour l’instant, car j’ai parfois l’impression d’avoir vu certains trucs déjà ailleurs, je n’ai pas encore eu le « c’est du jamais vu dans un plateformer ! »)
Les musiques sont sans doute parmi les meilleures que j’ai entendues sur la gen ps4/one sinon…

J’avance doucement mais sûrement dans Immortal Fenix Rising et franchement c’est une très bonne surprise. Si on met de côté le manque cruel de détail des personnages (alors que les décors sont vraiment beaux et vastes), et la mise en scène loupée (la voie off elle est nickel, moi j’aime bien, mais ça peut agacer. Un jeu à prendre au second degré), eh bien c’est vraiment sympa.

Le jeu pompe toutes les licences fortes pour en faire un mix réussi (pour le moment). Une carte à la Zelda Breath of The Wild (immense, où on peut aller partout où se pose notre regard) sans les défauts de l’armement (oui oui, je déteste le système des armes qui se brisent), le côté assassin s creed pour l’escalade et les points de vue, une petite dose de God of War dans le scénar de lutte des dieux, et dans ses combats (mais en plus enfantin et facile, faut pas pousser), et on obtient un titre qui se fait avec plaisir (alors que je n’aurais pas cru).

C’est pas prise de tête, on peut faire les niveaux dans l’ordre qu’on veut, affronter les pires endroits à nos risques et périls, ou poncer chaque zone au maximum. Bref, c’est ma bonne surprise de ce début d’année.

J’oubliais la bande son excellente, et la spatialisation du son au casque avec Dolby Atmos, très très efficace.

Je viens de terminer 13 Sentinels Aegis Rim. Ce fut mon tout premier jeu Vanillaware et une excellente surprise. La partie visual novel est très bien fichue, avec son intrigue découpée qui se dessine au fur-et-à mesure du jeu. L’ensemble reste compliqué à suivre, je trouve, mais les explications données et les flashbacks m’ont personnellement suffi à saisir le fil de cette histoire. Seul bémol, les romances et autres histoires à l’eau de rose, qui trouvent peut-être leur sens dans l’épilogue du jeu, mais qui m’ont été difficilement supportables. J’ai aussi repéré quelques fautes de français, mais cela reste dans la moyenne de ce qui se fait aujourd’hui et dans l’ensemble, j’ai trouvé la localisation de bonne facture.

En ce qui concerne les phases de combat, je les trouve dynamiques et très divertissants du fait du grand nombre d’ennemis à exploser (ce qui fait très souvent chuter le framerate). L’interface manque peut-être de lisibilité, mais j’ai passé un bon moment pendant ces phases de bataille.

La bande-son colle très bien aux différentes situations, mais est surtout composée en grande majorité de musiques d’ambiances. Quant aux musiques des batailles, elles sont totalement masquées par le bordel qui règne pendant ces phases. Au passage, le jeu est entièrement doublé en japonais, et même si je n’y comprends strictement rien, cela profite énormément à l’ambiance du jeu.

Visuellement, c’est très agréable. Les phases visual-novel ont un aspect aquarelle très soigné et les décors arborent de nombreux détails, sublimés par des effets de lumière et des teintes douces. Les phases de bataille, quant à elles, ont un rendu fil de fer qui semble déroutant aux premiers abords, mais qui aide finalement à la lisibilité (toute relative) des combats.

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