Vos jeux en cours, vos jeux finis... (partie 2)

Terminé Succubus de Madmind Studios: j’en avais déjà parlé par le passé avec un jeu se basant sur la vision biblique de l’Enfer dans laquelle on incarne une Succube et prêtresse de la Luxure qui veut récupérer son royaume.

Sans titre 1

Du gore, de la violence et quelques scènes de sexe pour illustrer une ambiance infernale; un bon défouloir d’une manière générale.

Succubus est le 2e jeu du studio polonais (après Agony) et j’avais parlé aussi de Nymphomaniac -Sex Addict (qui est un jeu de gestion dans laquelle on incarne une nymphomane qui doit gérer son quotidien et son « entreprise »: parce que oui, faut bien payer le loyer au proprio et qu’il n’y a que des clients qui peuvent rapporter de l’argent si on arrive à cerner leurs désirs, etc…)

Malheureusement, le studio a une certaine réputation d’avoir des jeux plus ou moins « instable » avec pour exemple, le fait d’avoir fait un patch pour régler plusieurs bugs constatés par le public, deux jours après la sortie de Nymphomaniac (et d’autres patchs seront prévus à l’avenir).

Des titres à ne pas conseiller pour les enfants, aux coincés du cul et autres âmes sensibles: d’autant plus qu’un de leurs projets m’intéresse et que je suis depuis leur discord.

Tout comme le reste du catalogue: c’est dans l’horreur et d’après sa description, ce sera "Tormentor is an extreme gore horror game where players must survive in a brutal world filled with violence and blood.

Take on the role of a merciless torturer. Earn money from video transmissions of your torments and then buy new victims and torture tools to expand your prison."

Grosso-modo, c’est ce que je comprends mais au vu des suggestions proposées par les joueurs, il y a un potentiel à mes yeux pour être un nouveau défouloir depuis…Madworld de Platinum Games.

La possibilité de pouvoir se défouloir, se lâcher après une bonne grosse journée de merde et ce, desfois en dehors du sport.

Pour ceux que ca intéresse de voir ce que le studio propose en général, il y a la boutique officielle:

Et pour rappel, Agony, c’est de l’infiltration à travers l’Enfer. Peut-être que cela va vous parler à travers ceci:

Connaissais Agony de nom (mais jamais fait), par contre celui là connait pas.
C est quel style de jeu ? C est sur PC?

Alors déjà, il faut savoir qu’Agony possède différentes fins (au nombre de 8) et que Succubus est une suite d’une de ces fins (un spin-off, en gros). Dans les deux cas, c’est à la première personne (Agony joue sur l’infiltration là où Succubus joue sur l’action comme dans les DOOM).

Pour Succubus, il existe un prologue totalement gratuit et qui est à voir comme une forme de démo de ce que le jeu va proposer en général: deux niveaux (un niveau du point A au point B) en vue à la première personne avec des fonctionnalités qu’on pourra supprimer ou pas dans les options (comme les mini-scènes d’avortements pour les femmes ou de castrations pour les hommes).

Le scénario n’est pas aussi évolué comme disent pas mal de joueurs en comparaison avec l’histoire d’Agony mais les scénaristes ont sortis des phrases philosophiques intéressantes sur l’humain, Dieu, la vie, la Mort, le sexe etc…

Je fais principalement sur PC. Des DLC sont présents comme la version non-censurée qui est gratuite (a la base, il y a la censure via floutage notamment des scènes de sexe, scènes de viols de démons envers les humains, des seins et organes génitaux) d’autres DLCs payants avec des costumes, nouveaux décors pour personnaliser ton repaire, des niveaux bonus, nouvelles poses pour les selfies.

Je ne conseille absolument pas de jouer en compagnie de ta famille: tu risque de beaucoup les traumatiser avec le contenu, même pour un prologue. En dehors du fait que les titres ne sont pas vraiment « stables » ce qui pourrait t’amener à un pétage de plomb à cause de crashs, c’est soit tu apprécieras son ambiance, soit pas du tout.

Pour information, depuis que j’ai lancé le jeu final, je remplis les conditions minimales sur Steam pour le faire tourner: et sans exagérer, j’ai dû envoyer plus d’une centaine de rapports d’erreurs jusqu’à maintenant, ha ha ha

D’ici Octobre prochain, je me prendrais un nouveau pc portable avec Windows 12 pour être enfin tranquille pendant des années par la suite: le reconditionné que j’ai actuellement est du windows 10 qui ne peut pas passer vers Windows 11).

Amateur de Doom, je reconnais apprécier plus la vision de Madmind que celle d’ID Software qui paraît plus « doux » à côté de cela.

Essaye le prologue dans tous les cas et là il tourne parfaitement:

Merci pour tout ça, j aurais bien été tenté pour la curiosité mais je joue pas sur PC….

Je verrais pour Agony par contre à l occasion :+1:t2:

Agony est sur PS4, Switch, PC, Xbox One.

Succubus est sur PS4-5, Xbox One, PC, Xbox Series.

D’après les infos Google. :+1:

Après, y a des vidéos sur Youtube si tu veux voir l’action directe au cas où.

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Cool. Je vais regarder ça :wink:

J’ai fini Stray qui est un jeu assez sympa et varié, j’adore son ambiance et le fait d’incarner un chat est original.
Il me rappelle Soma mais en moins effrayant…

Sinon, toujours sur Golden Sun qui est vraiment bien fichu, j’essaie de faire le donjon secret avant le dernier boss… A l’ancienne quoi, on cherche le meilleur équipement, la meilleure tactique et je me reprends vite au jeu !

À l’approche de Noël, j’aime rejouer à certains jeux (sans compter les 3 jeux « rituels ») , nostalgie oblige. Et là, c’est Light Crusader sur Megadrive. Je l’avais fait en partie avec mes parents pour certaines énigmes à l’époque. Je l’avais eu pour Noël 95.
À peine les premières notes de l’écran titre je retourne à ce moment-là, idem avec la musique du château et du premier donjon.
Je comptais y jouer 5-10 minutes et je viens d’arrêter au bout de 1h40 sur le Steamdeck.
Je continuerai probablement demain et je poursuivrai sur Dr Robotnik mean bean machine toujours sur MD.

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Comme je te comprends… C’est Noël, j’ai machinalement relancé Shining in The Darkness

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Je me suis pris duke nukem 3d world tour sur switch vu qu’il est en promo à 1.99€.

Le portage est excellent, l’interface bien faite et les options de jeu sont appréciables.

Il est légèrement moins sombre que la version saturn du à un éclairage plus prononcé. Mais pour le coup je me demande si je ne préfère pas la version saturn car les effets de lumière ressortent mieux.

Par contre je je ne reconnais pas bien le 4eme épisode qui était un addon à l’époque. Ils l’ont peut être changé… ??

Quand au 5eme épisode bonus c’est bien cool parce que je l’ai jamais fait.

J’ai fini Grandia récemment après 124 heures, mais j’ai voulu rusher à la fin car il y a trop de trucs à voir, ça traînait. Et on se dit plusieurs fois que c’est la fin ? Ah non, il y a encore à jouer. Les villageois parlent beaucoup si on ne veut rien louper du lore, ça m’a sorti du jeu, et le jeu est quand même très long. Bonne dynamique des combats, mais j’ai boosté les magies assez tard dans le jeu.

Là, je refais Snatcher pour la deuxième fois après 10 ans et Panzer Saga en parallèle. C’est toujours aussi bien. Quels jeux !

Ma criique complète de Grandia que j’ai fait dans sa version anglaise sortie en patch sur Saturn :

J’ai fini Grandia il y a un mois avec la traduction sur Saturn. Alors ok, on vit une aventure, c’est génial, tout le monde sourit, il y a des vannes, on est content, mais je reste sur ma faim de ces J-RPG où il y a un manque de « drama ». Grandia, pour en tirer toute la moelle, tu dois lire tous les dialogues des villageois qui changent à chaque événement fait, limite, le jeu est super vivant tout en étant écoeurant si tu veux voir tout le lore proposé. Idem, à la fin, et j’aime bien être jusqu’au boutiste, je n’en pouvais plus de faire et refaire les maps pour choper tous les objets. Alors, j’ai arrêté, j’ai cédé au gigantisme du jeu. Et j’ai accepté de faire partie de ce monde « trop vaste » en allant à la fin « sans réfléchir » avec tout le level-up déjà fait.

Je veux dire, les bonbons sucrés, c’est cool, mais on nous servait la même chose en animés japs dans les années 90. J’ai toujours préféré les ambiances plus graves, où on a vraiment le sentiment d’être héroïque à la fin de son aventure, tout en te faisant méditer sur une problématique plus profonde qu’il n’en a l’air. Je voulais retrouver dans le jeu vidéo la même gravité qu’on avait dans les animés culte à la Evangelion. Je ne souhaitais pas me bouffer mille et une aventures sympas ambiance pirates des temps modernes, mais une définitivement marquante !

Et la Saturn a pu m’apporter ça, avec ces couleurs sombres, ces ambiances souvent imbibées de pénombre, chose que la PlayStation m’aurait apporté dans une moindre mesure de par sa volonté de trop fédérer les joueurs autour d’une mode ou des mêmes cadors d’éditeurs, mais sans la « vibe » d’un seul qui aura institué ma vie de joueur.

Je refais Panzer Saga pour la énième fois, et merde, quoi, on est dans le noir complet au coin du feu quand on va à la « caravane », on y voit presque rien autour. La lumière frétillante du feu fait le reste. Et sans être subjugué par cet effet de lumière, il se fait suffisamment discret pour qu’on y soit réceptif et il contribue naturellement à cette atmosphère digne de Nausicaa. Hop, tu décides d’attendre le matin pour parler à d’autres personnages, et tu ressens rien qu’avec cette nouvelle couleur cet effet d’aube au petit matin. Le système de combat est le plus ingénieux qui soit, et il aura fallu attendre FFXIII ensuite pour en avoir un aussi dynamique des années plus tard. Et tout est doublé en jap’ ! On aurait même dû avoir du Panzerese (qu’on entend seulement à l’intro) s’il y avait eu plus de moyens.

Bref, à entendre beaucoup de joueurs Saturn croisés récemment, il y a l’école Grandia et l’école Panzer Dragoon Saga.

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Ça me fait penser que Lunar va revenir au printemps 2025, sur Steam et probablement sur les consoles actuelles.

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Je comprends tellement pas ta critique.
Rien n’oblige à scruter le jeu de fond en comble.
L’aventure est assez riche et le monde vivant comme ça. J’ai du raté 80% des dials des villageois et ca ne pose aucun probleme. Je ne sais meme pas comment c’est humainement possible de faire 125H dessus. J’ai fait au moins moitié moins en ayant fait les donjons optionnels.

Et il y a du drama, tres subtil d’ailleurs, avec l’abandon de Feena qui questionne le sens et l’implication des avatars dans cette quete presentée comme legere dans un premier temps. Les persos qui aident puis disparaissent, j’ai ete touche par ces liens humains assez intimistes.

En faisant les 2 jeux à la suite recemment j’ai vraiment ete plus touché par Grandia que par PDS (que j’adore aussi).
Le seul gros defaut de Grandia c’est sa gestion peté de l’inventaire.

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Moi, je joue à Story of Thor sur le Nintendo Switch Online… En version US.
Comme l’a dit Cireza, c’est vrai que la version française paraît moins fluide sur nos écrans modernes !
Mais le jeu est superbe encore aujourd’hui, c’est sans temps morts, on se retrouve avec 2 donjons et 2 esprits récupérés en une demi-heure.
Voilà ce que j’aime dans les jeux Sega : on va à l’essentiel et on ne s’ennuie pas comme dans certains Zelda…

Par contre, je trouve le jeu moins facile qu’à l’époque, j’ai dû me ramollir mais il y a notamment un passage assez énervant avec les magiciens et des plateformes mouvantes dans le cratère (et les fameux sauts à faire en relâchant le saut et Ali qui glisse comme Mario à chaque réception).
Je veux un portage du 2 !

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Ce n’est pas ma façon de faire un RPG. Si tu zappes les dialogues, autant jouer à la Légende de Thor, qui est très bien aussi, et parfaitement calibré. Là, si on te propose des dialogues, ils sont là pour être lus, non ? Et en les lisant tous, donc, ça te sort du jeu, en tout cas, moi, avec cet aspect meta, ça m’a sorti du jeu. Grandia a donc aussi ce défaut.

Oui, je suis d’accord avec ça, dans le sens où tous les objets de santé ou de « guérison de statut » ne servent à rien au final, puisque tu n’as pas à les utiliser si tu as recours à la magie pour te soigner. Au final, tu accumules des objets que tu stockes dans le « coffre »…

Sinon, je suis allé voir Saint-Ex, et je vous le recommande. La photographie, la lumière, le jeu sur les couleurs rappellent Panzer Dragoon Saga, Journey et Skies of Arcadia aussi. Un peu d’onirisme au bout du compte.

Bref, franchement pas mal et une bonne surprise.

C’est exactement ça !!! La philosophie SEGA qui va droit à l’essentiel ! Tu n’aurais pas mieux dit ! Et c’est donc ce que je reproche à Grandia, que c’est longuet à démarrer, et qu’en plus on rallonge la sauce à certains endroits, tout en incluant des dialogues à foison.

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Bah pas forcement, les dialogues tu les declenchent si tu cherches quelque chose en particulier ou que tu veux en savoir plus sur le lieu et l’histoire… Mais sinon y a pas de raison de chercher à avoir l’integralité des dials dans un RPG. Qui sont souvent totalement osef.
Donc oui j’imagine sans mal que ca a du etre assez chiant à jouer comme ca, mais personne ne t’y oblige :smiley:

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Oui, c’est vrai que personne ne m’y oblige. Mais je pars du principe que je ne suis pas là pour speedrunner un RPG, et encore plus Grandia, qui plus est. Ca se savoure, quoi ! J’ai voulu le savourer, et les dialogues font partie « du jeu » pour être appréciés, surtout au vu de leur quantité par PNJ. Sinon, pourquoi les dév’ se sont fait chier à les inclure ? Et il y en a un paquet… Donc, le joueur censé s’y attarder, un peu comme les dialogues avec chaque perso dans Shenmue pour montrer la variété intrinsèque de cette « réalité alternative », déguste à mort. Sauf que dans Shenmue, c’est mieux intégré parce que les dialogues sont justement doublés, et tu captes très vite que les PNJ ayant chacun leur emploi du temps de la journée, tu ne peux pas tous leur parler en une salve. Dès le départ, tu intègres que tu vas louper leur lore en fonction des priorités que tu veux donner au jeu. Sur Grandia, c’est linéaire. T"arrives dans un village, tu peux parler à tous les villageois qui auront tous quelque chose à dire sur le problème à résoudre pour le village. Tu sauves le village, ils auront tous quelque chose à dire du fait que tu aies sauvé le village. Tu t’en vas et tu avances dans le monde, tu reviens à ce village pour le fun, ils auront encore quelque chose à dire sur le fait qu’ils s’entendent bien avec d’autres villageois grâce à ton action. Merci Justin ! Et ainsi de suite. Et par curiosité, j’aurais voulu aller jusqu’au bout du truc pour chaque village accessible vers la fin du jeu, mais qu’est-ce que ça rallonge, mon dieu… et on ne s’en sort plus avec les maps qui sont progressivement et exponentiellement plus longues justement, où tu dois booster tes magies pour le plaisir de la découverte, faire les trois donjons (il m’en reste plus qu’un), avancer dans l’histoire qui elle aussi te la joue « rallonge », pour justement te forcer à abandonner ta « quête de la noble cause », et je n’aime pas que le game system me force la main à abandonner un aspect du jeu par la lassitude que ça va nécessairement t’apporter. Et ce jeu aura réussi à me pousser à bout et à me faire dire : « allez, on va speeder, là, et on va aller à la fin, parce qu’ils abusent grave ! » Tellement que j’ai cru être quatre à cinq fois à la fin du jeu avant de vraiment y arriver, tout en me faisant sentir dans la frustration de l’échec, à chaque fois un peu plus de m’avoir fait lâcher mes objectifs (lecture de tous les dialogues à chaque étape scénaristique du village avec les lapins, c’est à partir de là où j’ai lâché l’affaire de lire tous les dialogues des villages…)

Et dans ce cas, les quêtes annexes, c’est la même chose, on n’est pas obligé de les faire pour finir le jeu, mais c’est con de ne pas les faire « tant qu’on y est » ! J’ai le même raisonnement pour les dialogues dans les RPG. Je les lis puisqu’ils sont là. C’est le schéma des trophées / succès que j’applique rétroactivement sur les jeux Saturn et des consoles de sa génération. Je ne suis pas barré au point de vouloir tous les anneaux de chaque stage de Sonic par exemple, mais c’est un des défis possibles. Dans Phoenix Wright par exemple, j’avais loupé un plat d’un PNJ dans le cadre d’une enquête. Et quand je l’avais fini sur DS, je n’aurais jamais su que j’avais loupé un plat dans tout ce que la PNJ que tu interroges régulièrement propose, plats dégueus, mal présentés ou appétissants qui sont en lien avec les dialogues qu’elle a avec Phoenix. Ca te fait redécouvrir le jeu indirectement, et ça booste le côté méta d’un jeu que tu croyais connaître. Mais j’ai conscience qu’être passé par la case visual novel quelques temps m’ont rendu maniaco-dépressif sur tous les dialogues à lire, sinon ça sert à rien.

C’est un tout. Et Grandia est « too much » sur les villageois osef justement. Et ça n’invite pas à le refaire « pour le plaisir ».

Je suis d’accord. Mais justement, pourquoi j’ai voulu insister à lire TOUS les dialogues ? C’est que Game Arts a poussé le vice à faire intervenir Feena ou Sue dans les dialogues, si bien qu’on a vraiment la réaction de ta team en direct. Parfois, c’est Justin, parfois, c’est Sue, parfois c’est Feena, parfois ce sont les autres qui arrivent.

Le jeu te fait sentir qu’il est dommage que tu ne parles pas aux villageois car tu loupes des interventions éventuellement rigolotes de chaque interaction avec les villageois. Il n’y a pas que Justin qui parle, mais aussi les autres en fonction du personnage abordé. Tout ça justement pour que le jeu soit moins intimiste avec les relations que les 4 héros de ta team partagent entre eux. C’est diabolique et à te rendre fou si tu t’essayes à l’exercice !!! ^^’

En parlant de Grandia, je ne l’ai jamais fait, j’hésite toujours à me prendre sa compil HD mais j’ai peur que ça dénature sa DA d’après les images que j’en ai vues (contrairement au remake d’un Star Ocean 2 par exemple).

Bon et bien j’ai terminé Light crusader, j’ai galéré sur un énigme vers la fin, bon la petite a été malade cette nuit.
Demain ce sera au tour de Sonic 3D mais celui-là c’est à chaque Noël que je le fais.

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